🎯 “C’est pas possible.” C’est ce que beaucoup pensent
 quand tout bascule.

📍 À l’occasion de AppelCyberJuin 2025, une confĂ©rence marquante sur la prise de dĂ©cision hors cadre et en situation de crise a rĂ©sonnĂ© profondĂ©ment.

Un moment fort, percutant, passionnant.

👉 Voilà ce que j’en ai retenu :
Quand on est en pleine incertitude,
Quand on dirige sans filet, dans le brouillard.
Il y a ces moments oĂč la dĂ©cision semble tout simplement impossible.
Plus rien ne rentre dans les cases.
Il n’y a plus de bonnes rĂ©ponses.
Parfois, mĂȘme plus de repĂšres.

La gestion du risque ?
Elle laisse la place à l’arbitrage des pertes.
La question n’est plus : “Quel risque suis-je prĂȘt Ă  prendre ?”
Mais bien : “Qu’est-ce que je suis prĂȘt Ă  perdre
 pour prĂ©server l’essentiel ?”

Et surtout :
👉 Cette dĂ©cision, on ne pourra pas la reprendre.
Il faudra l’assumer. La justifier.
Donner du sens.
Tenir la ligne.
MĂȘme quand le doute s’installe.

🎯 La clĂ© ?
S’appuyer sur ce qui a Ă©tĂ© prĂ©servĂ©.
Pas le plan, pas le contrĂŽle.
Mais les valeurs.
Ce qui reste quand tout le reste peut s’effondrer.

En période de crise, on ne cherche plus à performer.
On cherche à co-opérer, à dialoguer, à inventer.
Des options que personne n’aurait imaginĂ©es “en temps normal”.
On passe du contrÎle au consentement.
Du probable au possible.
De l’intĂ©rĂȘt personnel au sens collectif.

👉 VoilĂ  ce que cette confĂ©rence a mis en lumiĂšre, avec une force rare :
DĂ©cider, en crise, c’est transgresser.
C’est s’engager.
C’est oser perdre quelque chose — pour dĂ©fendre ce qui compte vraiment.