🔐 De la cybersécurité au levier de performance

🔐 De la cybersécurité au levier de performance

Introduction

La cybersécurité au sein des COMEX n’est plus un sujet purement technique.
Longtemps perçue comme un centre de coût, elle devient aujourd’hui un levier de performance, d’innovation et de confiance.
Mais pour que ce changement s’opère, il faut changer de langage : passer du “cyber” au “business”.

Pourquoi les COMEX doivent s’en emparer

Les COMEX n’ont pas besoin d’un nouveau plan cyber.
Ils ont besoin de comprendre pourquoi ils ne peuvent pas atteindre leurs objectifs business sans la cybersécurité.
Celle-ci soutient la croissance, la réputation et la continuité d’activité.
Autrement dit, sans cybersécurité, aucune stratégie d’entreprise n’est durable.

Donner du sens et de la valeur à la cybersécurité

Donner du sens à la cybersécurité au sein des COMEX, c’est :
✅ Créer un besoin orienté performance et durabilité, pas seulement protection.
✅ Aligner la sécurité sur la feuille de route stratégique : innovation, excellence, réputation.
✅ Traduire les risques techniques en enjeux business : conformité, disponibilité, confiance client, image de marque.

Grâce à cette approche, la cybersécurité devient un accélérateur de développement.
Elle peut même ouvrir de nouveaux marchés et renforcer la valeur perçue de l’entreprise.

Un véritable atout stratégique

La cybersécurité est désormais :

  • Un avantage concurrentiel pour conserver et conquérir des clients.

  • Un facteur de performance financière mesurable.

  • Un prérequis stratégique à toute feuille de route de transformation.

En résumé, elle n’est plus un frein : c’est un levier de réussite.

Trois leviers d’alignement COMEX / CYBER

1️⃣ Parler le langage du business : traduire la cybersécurité en indicateurs de productivité, conformité et confiance.
2️⃣ S’ancrer dans la stratégie : relier la cyber aux priorités de l’entreprise (RSE, innovation, client).
3️⃣ Préparer la vente : comme tout projet stratégique, la cybersécurité doit s’appuyer sur des sponsors internes et un retour sur investissement clair.

Conclusion

Intégrer la cybersécurité au sein des COMEX, c’est adopter une vision moderne du risque et de la performance.
Les dirigeants et les RSSI doivent désormais avancer ensemble :
les uns pour comprendre, les autres pour convaincre.

💬 Et vous, comment votre COMEX intègre-t-il la cybersécurité dans sa stratégie ?


Gestion de crise cyber : votre board saurait-il quoi faire 24h après une cyberattaque ?

Gestion de crise cyber : votre board est-il prêt ?

La gestion de crise cyber est aujourd’hui un enjeu majeur pour toutes les entreprises.
Les 24 premières heures après une cyberattaque sont décisives : réputation, continuité d’activité, impact financier… chaque minute compte.
Mais une question demeure : votre board saurait-il quoi décider dès le lendemain ?

Pourquoi la gestion de crise cyber reste un point faible

Dans beaucoup de PME et ETI, la préparation à la crise cyber n’est pas encore structurée.
On entend souvent :

« Des crises, on en a déjà gérées. Regardez le Covid… »

Sauf que la crise cyber est différente : elle frappe à froid, prend tout le monde de court et laisse les équipes sans réponse.
Même dans les grands groupes, malgré des exercices existants, il reste du chemin pour impliquer les métiers et clarifier la gouvernance.

👉 Découvrez aussi notre guide de la gouvernance cyber pour renforcer la prise de décision au sein du board.

Une crise cyber ne se résout pas uniquement par la technique

Une bonne gestion d’incident cyber ne repose pas seulement sur des outils.
Elle exige une organisation claire et anticipée, fondée sur trois piliers :

  • Un plan de continuité d’activité pour maintenir l’entreprise à flot.

  • Une gouvernance explicite : qui décide, qui communique, qui agit.

  • Des scénarios de crise testés et mis à jour régulièrement.

Sans préparation, les décisions tardent, la communication se brouille et les impacts s’amplifient.

Anticiper la gestion de crise cyber

📌 La bonne nouvelle : une gestion de crise cyber efficace se prépare.
Des leviers concrets permettent de transformer la panique en décisions maîtrisées :

  • Exercices de simulation pour tester la réactivité du COMEX.

  • Évaluation du risque cyber pour mesurer la maturité de l’organisation.

  • Formation des dirigeants à la réponse à une cyberattaque.

Ces démarches permettent de passer de l’improvisation à la décision stratégique.

Former le board à la réponse cyber

Les entreprises les plus résilientes ne sont pas celles qui évitent les attaques, mais celles dont les dirigeants savent agir vite et décider clairement.

Nos programmes de formation à la gestion de crise cyber aident les COMEX et conseils d’administration à structurer leurs décisions, prioriser leurs actions et maintenir la confiance.

👉 Consultez notre article sur la formation COMEX cyber pour renforcer la préparation de vos dirigeants.


Les jeunes adultes, hyperconnectés mais vulnérables face au risque cyber

Les jeunes adultes, hyperconnectés mais vulnérables face au risque cyber

📊 Le rapport annuel publié le 11 septembre 2025 par Cybermalveillance.gouv.fr souligne un constat préoccupant. La population générale progresse dans la prise de conscience cyber. Pourtant, les jeunes adultes (18-34 ans) restent beaucoup plus vulnérables. Hyperconnectés, ils sont devenus la cible privilégiée des cyberattaques.

Pourquoi ? Parce qu’ils sous-estiment encore le risque cyber. Beaucoup adoptent des comportements dangereux : mots de passe faibles, mises à jour oubliées, clics trop rapides sur des liens suspects. Paradoxalement, cette génération, pourtant très familière avec le numérique, reste moins préparée que ses aînés à une évaluation du risque cyber ou à un cyber crisis management.

👉 La raison est simple. Ces jeunes constituent la première génération massivement exposée à Internet dès l’enfance. Mais ils n’ont pas bénéficié d’une véritable formation cybersécurité.

⚠️ Ce constat est alarmant. Car ces jeunes sont – ou seront bientôt – les collaborateurs de demain. Leur manque de préparation fragilise déjà la résilience cyber des entreprises.

Deux leviers doivent donc être activés sans attendre :

1️⃣ En entreprise : déployer des actions de sensibilisation adaptées à leurs usages. Ateliers pratiques, cas concrets et tabletop exercise renforcent la culture cyber.

2️⃣ Dans les écoles et universités : introduire des modules obligatoires des modules de sensibilisation et formation. Pas des cours longs, mais des sessions qui éveillent la conscience, instaurent les bons réflexes et ouvrent la voie vers les métiers de la cyber.

✅ Former cette génération, c’est investir dans la cyber sécurité et surtout préparer un avenir numérique plus sûr.


🌱 La cybersécurité ne se décrète pas. Elle se cultive.

🌱 La cybersécurité ne se décrète pas. Elle se cultive. C'est pourquoi il est essentiel de développer une solide culture de cybersécurité au sein de chaque organisation. La culture de cybersécurité est un atout crucial pour la protection des données.

On peut imposer des règles, déployer des solutions, multiplier les process... néanmoins, une véritable culture liée à la cybersécurité doit aussi intégrer cet aspect crucial.

Mais si les équipes (y compris dirigeantes) n’y adhèrent pas, tout cela reste fragile. Intégrer une dimension culturelle dans la cybersécurité permet d'assurer une adhésion de tous.

La véritable résilience ne vient pas d’un logiciel.
Elle vient d’une culture partagée :

✅ où chacun comprend son rôle, notamment les dirigeants
✅ où la vigilance devient un réflexe pour tous, renforçant ainsi cette culture essentielle de cybersécurité
✅ où le cyber fait partie de la gouvernance, pas seulement de l’IT.

💡 La question à se poser n’est donc pas « Quels outils avons-nous ? », mais : « Quelle culture cyber avons-nous développée ? ». En fin de compte, cette culture de cyber collective détermine notre efficacité.

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💡 Cyber = un sujet organisationnel au service de la résilience opérationnelle

💡 Cyber = un sujet organisationnel au service de la résilience opérationnelle

Un des premiers impacts d’une cyberattaque n’est pas technique.
C’est l’arrêt brutal de la production, de la supply chain, du service client… bref, du cœur de l’activité.

👉 La véritable résilience ne se mesure donc pas uniquement à la solidité des outils IT.
Elle repose sur la capacité de l’organisation à :

  1. Anticiper les impacts business d’un cyber risk majeur,

  2. Développer une collaboration étroite entre les métiers, la direction et les équipes cyber,

  3. Préparer des scénarios de crise pour assurer la continuité de service et maintenir la confiance des clients comme des partenaires, même sous pression.

🎯 La cybersécurité n’est pas un sujet isolé, cantonné aux RSSI et à la DSI.
C’est un enjeu organisationnel et collectif, qui mobilise :

  • La direction et le COMEX, garants de la responsabilité des dirigeants en cybersécurité,

  • Les métiers, directement concernés par l’impact opérationnel,

  • Les équipes cyber, porteuses de l’expertise technique et du cyber crisis management.

Cet alignement est au cœur de la cyber governance moderne : créer une culture commune autour du risque, réduire l’asymétrie entre décideurs et experts, et intégrer la cybersécurité dans la stratégie de résilience globale.

Les nouvelles réglementations comme DORA pour la finance ou NIS2 pour de nombreux secteurs renforcent d’ailleurs cette exigence : démontrer que l’organisation est préparée, qu’elle a anticipé et qu’elle peut réagir sans chaos.

👉 La cybersécurité devient ainsi un véritable levier de résilience opérationnelle et de continuité d’activité.

❓ Et vous : dans votre organisation, qui porte vraiment cette résilience en cas de crise cyber — la DSI, les métiers… ou le COMEX ?

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🚨 Retour d’expérience : une crise cyber non préparée

🚨 Crise cyber : pourquoi la gouvernance est la clé de la résilience

Une crise cyber peut frapper n’importe quelle organisation, quel que soit son secteur. Récemment, une grande entreprise a été victime d’une attaque qui a totalement bouleversé son fonctionnement.

Ainsi, les conséquences ont été multiples et durables :
👉 plusieurs jours d’activités paralysées,
👉 un service en ligne hors service durant des semaines,
👉 des collaborateurs contraints de rester jour et nuit sur place,
👉 et, surtout, une réputation fortement abîmée auprès des clients et partenaires.

En effet, cette situation démontre clairement qu’une crise cyber n’est pas seulement un problème technique. Au contraire, il s’agit avant tout d’un enjeu de gouvernance et de préparation.

Car lorsqu’elle est mal anticipée, les impacts sont immédiats :

  • des décisions prises dans l’urgence et souvent dans la confusion,

  • des pertes financières qui fragilisent l’entreprise,

  • et une confiance brisée auprès de l’écosystème.

Aujourd’hui, en 2025, il devient donc évident qu’ignorer le risque cyber n’est plus une option. En réalité, la question n’est pas de savoir si une attaque aura lieu, mais bien quand. Pourtant, malgré cette certitude, beaucoup d’organisations demeurent insuffisamment préparées.

De plus, la directive NIS2 change profondément la donne. Elle impose désormais de tester régulièrement les scénarios de crise, d’impliquer directement les dirigeants dans la gouvernance cyber et de renforcer la résilience organisationnelle.

Cependant, loin d’être une contrainte, cette obligation représente une véritable opportunité. En effet, elle permet de transformer la cybersécurité en levier de continuité, de confiance et même de performance durable.

En résumé :
🎯 Pour les dirigeants, la priorité est d’anticiper.
🎯 Pour les CISO et RSSI, la mission est de renforcer la culture cyber au sein du Comex.

➡️ C’est précisément le rôle d’ADHEL : accompagner et former les décideurs pour transformer la contrainte en avantage compétitif.

🤝 Car la résilience ne s’improvise pas. Elle se construit pas à pas, ensemble.

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🎯 "On ne m’écoutera que quand il sera trop tard."

🚨 Cybersécurité : pourquoi écouter les RSSI et DSI avant qu’il ne soit trop tard ?

Une phrase qui résonne dans les entreprises

« On ne m’écoutera que quand il sera trop tard. »
C’est une phrase que beaucoup de RSSI et DSI répètent, surtout dans les PME et ETI. Écouter les RSSI et DSI est crucial pour la cybersécurité avant qu’il ne soit trop tard.
Des professionnels engagés, parfois découragés. Cela répond également à la problématique de cybersécurité : pourquoi écouter les RSSI et DSI avant qu’il ne soit trop tard ?
Parce qu’ils voient venir l’orage, mais personne ne veut lever les yeux.

Des alertes ignorées trop longtemps

👉 Ils tirent la sonnette d’alarme.
👉 Ils proposent des plans.
👉 Ils vulgarisent, expliquent, sensibilisent.

Et pourtant, les réponses sont toujours les mêmes :

  • « Pas tout de suite. »

  • « C’est trop technique. »

  • « Nous sommes trop petits pour être ciblés. »

  • « On verra après la levée de fonds. »

Quand la crise cyber éclate

Le jour où l’attaque survient, tout le monde se tourne vers eux.
Mais avant qu’il ne soit trop tard, c’est trop tard.
Pas trop tard pour réparer… mais trop tard pour éviter les dégâts.

Les RSSI et DSI ne veulent pas avoir raison.
Ils veulent être écoutés à temps afin de prévenir les menaces de cybersécurité : pourquoi écouter les RSSI et DSI avant l'heure fatidique ?

Intégrer la cybersécurité dans la gouvernance

👉 Et si l’on changeait de perspective ?
👉 Et si la cybersécurité devenait une composante de la stratégie d’entreprise, pas seulement un sujet d’urgence ?

Anticiper le risque cyber n’est pas un luxe.
C’est un choix de gouvernance, de responsabilité et de résilience. Par conséquent, il est impératif de se poser la question : cybersécurité, pourquoi écouter les RSSI et DSI avant qu'il ne soit trop tard ?
Et c’est là que tout commence concernant la cybersécurité : pourquoi écouter les RSSI et DSI.

Et vous ?

💬 Dirigeant·e, DSI, RSSI : comment votre organisation réduit-elle le décalage entre alertes techniques et décisions stratégiques ?

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Vous deviez briefez une BU… le sujet est balayé au board.en 2 min 😱

Quand la cybersécurité est expédiée en 3 minutes au conseil d'administration

Vous avez tout préparé. La cybersécurité au conseil d'administration parce que la gestion du risque cyber est clé est essentielle,

Vous avez tout préparé.
Les relais locaux étaient mobilisés. Les slides soigneusement peaufinés. Les objections anticipées.

Et pourtant, au comité de direction, le sujet cybersécurité tombe en trois minutes chrono :
« Pas prioritaire ce trimestre. »
« La DSI centrale gère déjà ça. »
« On verra en phase 2. »

Pas de surprise donc, mais une vraie déception. Car vous disposiez déjà des indicateurs de gestion du risque cyber, des tendances claires et des signaux faibles. La cybersécurité au conseil d'administration doit être prioritaire pour cette raison précise.

👉 Ce qu’il manque vraiment ?
Une voix politique au bon étage.

En effet, la cybersécurité ne se résume pas à des patchs ou à des firewalls. Elle représente avant tout une question de gouvernance, de responsabilité légale des administrateurs et de conformité réglementaire. En d'autres termes, la cybersécurité au conseil d'administration : pourquoi la gestion du risque cyber est clé.

🎯 Ainsi, le véritable danger n’est pas technique.
C’est l’inertie collective.

Lorsque le board écarte le sujet, il laisse ouvertes plusieurs questions essentielles :

  • Qui assume la responsabilité en cas de crise ?

  • Le plan de continuité est-il testé et réellement fiable ?

  • Quelle est aujourd’hui l’évaluation du risque cyber ?

  • Sommes-nous alignés avec NIS2, DORA, RGPD ?

Les dirigeants comprennent, en effet, le langage du risque et de l’impact financier. Cependant, ils ne réagissent pas au vocabulaire des vulnérabilités techniques. Cybersécurité au conseil d'administration : pourquoi la gestion du risque cyber est clé pour assurer une compréhension adéquate des enjeux stratégiques.

👉 C’est pourquoi il devient essentiel de traduire la cybersécurité en langage de gouvernance, de conformité et de résilience. Ainsi, ce qui semblait purement technique se transforme en un enjeu stratégique qui conditionne la pérennité de l’entreprise.

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🛑 Vous dormez avec votre téléphone allumé.

Responsabilité des dirigeants en cybersécurité : pourquoi votre DG doit s’impliquer

🛑 Vous dormez avec votre téléphone allumé. Cette habitude peut paraître anodine, mais cela soulève des questions sur la responsabilité des dirigeants en cybersécurité : pourquoi votre DG doit s’impliquer.

📱 Prêt à bondir à 3h du matin en cas d’alerte. Pendant ce temps, votre DG dort profondément. Et surtout, il ne se demande pas : “Et si ça tombait cette nuit ?” Peut-être pensez-vous que 🛑 vous dormez avec votre téléphone allumé par nécessité.

Le poids du risque cyber repose encore sur les seuls RSSI

En effet, vous anticipez, vous couvrez et vous absorbez les risques. Pourtant, 🛑 vous dormez avec votre téléphone allumé et vous êtes souvent seul. Car il pense encore que la cybersécurité est uniquement “un sujet d’IT”. Par conséquent, il ne voit pas ce que vous voyez. Et c’est pourquoi il doit s’impliquer tant pour la responsabilité en cybersécurité des dirigeants.

🔁 Le risque, celui d’avoir une organisation hors d’état de fonctionner, c’est vous qui le portez. Et lorsque vous proposez de le sensibiliser ? Les réponses tombent aussitôt :

  • “Pas le temps.”

  • “Pas le budget.”

  • “Pas son rôle.”

Ce n’est pas un manque de volonté, mais un manque de message adapté

Or, la réalité est différente. Ce n’est pas qu’il refuse de comprendre. Au contraire, comme je le constate chaque semaine lors de mes formations en cybersécurité pour dirigeants, il n’a simplement jamais reçu de message pensé pour lui. Autrement dit, il n’a jamais eu les clés concrètes de ce que l’on attend d’un DG en matière de gouvernance et de cybersécurité.

✅ Pourtant, il n’a pas besoin d’être un expert technique. Au contraire, il a besoin d’une session claire, adaptée à ses enjeux business et traduite en langage de risque, de conformité et de résilience. En effet, la question de la responsabilité des dirigeants en cybersécurité est primordiale, surtout quand 🛑 vous dormez avec votre téléphone allumé.

Un kit simple et actionnable pour les DG de PME et ETI

C’est pourquoi j’ai conçu un kit spécifique. Simple. Clair. Direct. Actionnable. Ainsi, chaque dirigeant peut enfin comprendre sa responsabilité en cas de crise cyber et jouer son rôle dans la gouvernance.

🎁 Si vous souhaitez l’obtenir, il vous suffit d’écrire “PME” en commentaire ou en message privé. Je vous l’enverrai avec plaisir.

🎧 Enfin, si vous découvrez mon contenu avec ce post, sachez que je forme et implique les dirigeants sur les enjeux cyber. Pensez-y la prochaine fois que 🛑 vous dormez avec votre téléphone allumé. Pour aller plus loin, découvrez aussi :

PME cybersecurité cyber4leaders DGs


Votre plan est béton. Mais il ne passera jamais… s’il n’est pas compris.

Votre plan cyber est solide, mais il bloque au COMEX

Le constat

Vous avez mis en place un plan de reprise d’activité, vous avez segmenté le réseau et vous avez déployé l’authentification multi-facteurs. Votre plan cyber est solide. Mais il bloque au COMEX. De plus, vous avez mené des audits réguliers et renforcé le contrôle des accès.

Sur le papier, le plan est robuste. Pourtant, lorsque vous le présentez au COMEX, rien ne se passe et l’élan s’arrête net. Votre plan cyber est solide, mais pourquoi cet échec persistant auprès du COMEX ?

Le blocage

Pourquoi un tel décalage ? Parce que les dirigeants n’écoutent pas le langage technique. Au contraire, ils veulent comprendre le risque, mesurer l’impact financier et connaître leur niveau de responsabilité. C’est précisément pour cette raison que, même si votre plan cyber est solide, il bloque au COMEX.

La clé

Pour avancer, il faut traduire vos messages. Autrement dit, vous devez montrer les conséquences concrètes sur la réputation, expliquer les enjeux pour la continuité et démontrer les effets potentiels sur la survie de l’activité. Ainsi, le plan cesse d’être perçu comme purement technique et devient stratégique. Si votre plan cyber est solide, il doit aussi être compris pour ne plus bloquer au COMEX.

C’est exactement ce que je fais : je parle cyber, mais j’utilise aussi le langage de la direction générale.

Exemple

Un DSI m’a confié un retour très simple :
"Je répétais le même message depuis deux ans. Tu l’as dit une fois, et ils ont réagi."

La question

Alors, quand vous prenez la parole, vos dirigeants vous entendent-ils vraiment ? Ou voient-ils encore cela comme un plan solide bloqué au COMEX, un dossier technique parmi d’autres ?


📌 Passez à l’action

👉 Découvrez notre formation cyber pour dirigeants.
👉 Faites passer vos projets du technique au stratégique.

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