Trop souvent, la cybersécurité est vue comme une affaire uniquement
technique. Résultat ? Une organisation KO à la 1ère attaque sérieuse….

Voici les 7 erreurs les plus fréquentes que je rencontre sur le terrain :

→ Penser que ça n’arrive qu’aux autres
« Nous sommes trop petits », « notre activité n’intéresse personne »…
Faux. Aujourd’hui, tout le monde est une cible, surtout ceux qui pensent ne pas l’être.

→ Ne pas former ses équipes – toutes les équipes
La cyber n’est pas réservée à la DSI. C’est l’affaire de tous. Et pourtant, souvent, personne n’est formé. Ou juste une poignée de personnes. Résultat ? une première ligne fragile et il est donc plus facile pour les attaquants de pénétrer le système … et n’oublier pas former aussi vos équipes SI 😉

→ Ne jamais tester les sauvegardes
« Oui, l’équipe SI a testé la restauration de la sauvegarde … mais personne n’a vérifié que les sauvegardes étaient complètes, exploitables, et accessibles rapidement. Devinez ce qui se passe le jour où on en a vraiment besoin…

→ Ne pas prioriser la cybersécurité
Trop souvent repoussée. « Pas le temps », « pas prioritaire », « pas de budget cette année ». Jusqu’au jour où il est trop tard.

→ Déléguer à 200 % au DSI ou RSSI
« Ce n’est pas mon sujet, c’est celui du DSI ». Grave erreur. La cybersécurité est un enjeu stratégique. Elle mérite l’implication de la direction générale.

→ Pas de plan de crise
Chez la majorité des PME/ETI avec lesquelles j’échange, il n’y a aucun plan de gestion de crise cyber. « On saura faire ». Vraiment ? On sait gérer les crises… on a gére le covid.. mais une cyberattaque n’a rien à voir avec une pandémie : tout peut être bloqué, mails, téléphones, accès…

→ « La cyber, ça coûte cher »
Non c’est un  investissement !  Combien coûtera l’arrêt – partiel ou total – de votre entreprise ? Perte d’exploitation, image, confiance, données.

👉 Comment éviter tout ça ?

→ Formation régulière et au fil de l’eau, pas juste une fois par an !

→ Le pilotage du risque par le DG et son équipe  : le RSSI ne peut pas tout gérer, certaines actions ne sont pas de son ressort.

→ Une culture de la sécurité à tous les niveaux : on n’allume pas une allumette dans une station-service, pourquoi ? Parce que c’est intégré, répété, enseigné.

→ Des exercices de crise, pour être prêt. Oui, on peut se retrouver sans mail, sans téléphone, sans accès. Et là, il faut savoir quoi faire, tout de suite.

📌 La cybersécurité n’est plus une option.

C’est un levier de confiance, de résilience et de performance.
Et vous, quelle est votre prochaine action pour être prêt ?

🎧 Pour ceux qui me découvrent à travers ce contenu, je vous invite à me suivre ou à me contacter pour en savoir plus. Nous accompagnons les décideurs dans la gestion de l’impact cyber.