💣 Le cyber risque n’est pas qu’un sujet IT. C’est une véritable bombe à retardement financière.
En 2021, son coût mondial était estimé à 6 000 milliards de dollars. Or, il progresse de 15 % par an.
➡️ D’ici 2025, il pourrait atteindre 10 500 milliards.
Pourtant, beaucoup d’entreprises continuent à provisionner « au doigt mouillé ». Elles se disent : « On verra si ça arrive ». Mais en réalité, cela arrive déjà, et les exemples sont nombreux.
📍 Saint-Gobain : 250 millions d’euros de pertes après une attaque.
📍 Pour une PME : 50 000 euros, c’est le coût médian d’une cyberattaque.
En effet, les conséquences dépassent largement le seul domaine technique :
🔥 Gestion de crise et remédiation
🔥 Pertes de chiffre d’affaires
🔥 Amendes réglementaires
🔥 Réputation durablement entachée
👉 C’est pourquoi un DAF, un dirigeant ou un administrateur ne peut plus ignorer le cyber risk management. Ainsi, protéger le résultat net suppose de prévenir, mesurer et couvrir le cyber risque.
De plus, la cybersécurité n’est plus seulement un enjeu technique. Au contraire, elle est désormais stratégique, économique, assurantielle et réputationnelle. Elle s’inscrit directement dans la gouvernance et engage la responsabilité légale des dirigeants.
🎯 Par conséquent, la question n’est plus “si” une attaque aura lieu, mais bien “quand”. La préparation ne doit pas être une option : elle conditionne la continuité d’activité et la confiance des clients et partenaires.
👉 Découvrez nos formations cybersécurité pour dirigeants et notre article sur la gouvernance cyber.
Pour aller plus loin, consultez le site de l’ANSSI ou le rapport ENISA 2024