đ„ Vous nâĂ©tiez pas visĂ©s⊠mais vous ĂȘtes tombĂ©s quand mĂȘme.
Une entreprise industrielle française.
Solide. DiscrÚte. Bien gouvernée.
JusquâĂ ce quâun prestataire IT basĂ© Ă TaĂŻwan soit paralysĂ© par une attaque dâĂtat.
Pas eux la cible.
Mais eux les dommages collatéraux.
âĄïžÂ Leur SI ? Ă lâarrĂȘt 6 jours.
âĄïžÂ Deux clients majeurs perdus.
âĄïžÂ Une direction sonnĂ©e.
âĄïžÂ Et un COMEX qui dĂ©couvreâŠÂ quâil nâavait jamais testĂ© ce type de scĂ©nario.
đŻÂ Le cyberespace ne respecte ni les frontiĂšres, ni vos prioritĂ©s du trimestre.
Aujourdâhui, les tensions gĂ©opolitiques se traduisent par :
des attaques via des sous-traitants secondaires,
des ransomware déclenchés à distance,
des dĂ©sinformations virales⊠mĂȘme ici, sur LinkedIn.
Et pourtant, dans 80 % des COMEX :
đ le risque cyber nâest quâun point dans un PowerPoint, un indicateur de suivi
â Pas un vrai dĂ©bat stratĂ©gique.
DG, DAF, COMEX :
La bonne question nâest plus :
âSommes-nous une cible ?â
Mais bien :
âSommes-nous prĂȘts Ă encaisser ce quâon ne voit pas venir
đ§Â Si vous dĂ©couvrez mon contenu avec ce post,  je vous invite Ă me suivre ici sur Linkedin ou Ă me contacter si vous souhaitez en savoir plus.